Fête pour les Flick (libre)

Messages : 22 Date d'inscription : 19/06/2012 Age : 35 Localisation : Belgium

Je me suis encore levée au aurore ce matin, toute la journée j'ai préparé du thé, un thé que je ne consommerais pas, puisque il est pour nos hôtes qui avait la générosité de nous accueillir. Les petit gâteaux allait suivre également, ils étaient sur la table centrale j'avais tous préparé, et avertis nos amies que ces consommation était réserve a nos hôtes, un petit déjeuner appétissant. J'ai toujours eu le sens de l'organisation, nous pourrons fêter tous ensemble cet événement, même si nous fêterons pas tous la même choses. Maman a été sympas de me fournir tous ces fruit et plantes, de la menthe fraîche, au fruits rouge avec une petite touche personnel. Il était soir lorsque je finis de disposer partout ces gâteaux et le thé, j'ai fait des banderoles, pour le montré ma bonne volonté. Ils exprimeraient toutes l'estime que j'avais pour eux, après tous mon grand père avait fait partis des Flick avant de se ranger. C'est de luis que je tient ma rapière en argent, épée dans la famille depuis longtemps. Mon cousin avait l'habitude de m’entraîner le soir. j'étendait Mary Jane pour préparé la fête, je m'était occupé de coter pratique mais pour le coter relationnel, j'aurais besoin de Mary Jane. Ce qui était prévue c’est que noue faisions le service se soir, avec les volontaire de mon clan sous la direction de Mary.

"Bonjour Mary, Heureuse que tu ait accepter de m'aider, comme je t'en ait parlé un peu plus tôt, nous avons quelques chose a fêter se soir. Mon grand père ma offert sa rapière qui est dans la famille depuis très longtemps, il ma montré qu'il aimait sa petite fille plus que tous au monde. bien que pour la fête aucune arme ne seras autoriser, pour s'assuré qu'il n'y auras pas d'accro."

Je dis sa avec un léger sourire, elle savait a quel point j'aimais les surprises, elle ne serais pas déçue, tout le monde s'amuserais se soir et elle resterais a jamais graver dans nos mémoires.

Mary-Jane avait eu une journée plutôt mouvementée, elle était resté aux côtés du chef des Flick Knifes toute la journée ne laissant aucun moyen à se dernier de communiquer avec ses Flick Knifes. Quand à la chef des Orchids, elle savait déjà ce qui suivait et faisait une confiance aveugle à Mélissa pour organiser la soirée. Une façon de remercier nos hôtes et après avoir offert à Matthiew une jolie surprise celle-ci n'était plus qu'une formalité administrative. Mary-J. monta en haut de la mezzanine pour partager quelques mots avec Mélissa rapidement, en effet, Field était juste en bas observant les décorations et la table bien garni de petits gâteaux et d'autres confiseries.

Bonjour Mary, Heureuse que tu ait accepter de m'aider, comme je t'en ait parlé un peu plus tôt, nous avons quelques chose a fêter se soir. Mon grand père ma offert sa rapière qui est dans la famille depuis très longtemps, il ma montré qu'il aimait sa petite fille plus que tous au monde. bien que pour la fête aucune arme ne seras autoriser, pour s'assuré qu'il n'y auras pas d'accro.

Je te fais confiance sur ce point. Allons donc rejoindre nos hôtes.

Mary-Jane s'empara du plateau qui contenait toutes les tasses de thé. Puis elle passa vers chaque Flick Knifes leur offrant la boisson chaleureuse.

Attention c'est chaud ne vous brulez pas.

Disait-elle à tout un chacun avec son sourire charmeur et d'une politesse extrême. Puis, elle déposa le plateau vide sur la table, prenant un autre plateau, qui contenait cette fois un thé personnel de la Lady, importé d'Angleterre. Elle en distribua à toutes ses Orchids. Puis tous burent quelques gorgés. Les conversations commençaient à se faire entre les habitants du dortoir.

Nous avons une petite annonce à vous faire avec Mister Field. Il s'agit de la répartition des chambres. Alexandra Calendea partagea la chambre de Maximilian Davidson et de Harley Lewis. Quant à Mélissa Natrella, elle tiendra compagnie à Alastair Evans.

Messages : 39 Date d'inscription : 06/07/2013

Comme c'était gentil et adorable de la part des Orchids de faire une petite fête pour les Flicks! Etait-ce une simple ruse pour pouvoir entretenir une bonne relation avec les garçons durant leur séjour dans le dortoir ou alors est-ce qu'il n'y avait rien qui se cachait derrière? C'était la question que se posait le jeune Maximilian. Ce dernier avait été traîné de force par deux de ses camarades afin de se moquer de leurs ennemies. Ainsi le blondinet était dans un coin, jouant avec ses mains et baissant de la tête. Ce n'était pas une bonne idée d'être dans la mezzanine et en compagnie des Orchids de plus est. Il coopérait avec elles, et il avait peur de faire une énorme bêtise. Non, il n'avait pas envie qu'on découvre à cause d'une grossière erreur (trop prêt de Mary-Jane, ou alors d'une autre "plante") qu'il avait quelque chose à cacher avec elle. Cependant, il avait envie de voir Alexandra, sa douce et belle Alexandra. Mais ne la voyant pas encore, il s'était dit qu'elle était sans doute absente. Peut-être qu'elle détestait elle aussi être dans un endroit où était regroupé pratiquement tout les Flicks mais aussi leurs invités. D'ailleurs, en y repensant, il aurait pu très bien rester dans sa chambre dans ce cas-là pour lire un bon bouquin, ou écrire encore un peu.

La chef des Orchids vint vers tout les Flicks pour leur donner du thé. Le jeune homme s'était décidé à se coller un peu plus contre le mur, pensant être un peu plus invisible, lorsqu'elle arriva enfin vers lui pour lui en donner une tasse. N'ayant pas le choix et trouvant cela mal de refuser quelque chose de la part de quelqu'un, il en prit une et y remercia en disant tout doucement "Merci...", la tête toujours baissée. En fait, il se sentait bête. Très bête même. En tout cas, il bu une gorgée de la boisson avant de se mordre la lèvre inférieure. Zut, elle avait raison : c'était chaud, très chaud même. Il avait pas l'habitude de voir du thé à cette température : le temps décrire ou de lire, tous ce qu'il buvait avait le temps de refroidir.

Les habitants du dortoir se mettant à parler entre eux, le futur écrivain se mit à se faire encore plus petit. Il n'avait pas envie que les gens viennent lui taper la conversation. De quoi est-ce qu'il irait parler? Il n'en savait rien. Parler avec quelqu'un le mettait fort mal à l'aise. En tout cas, Mary-Jane prit la parole pour annoncer qui irait dans la chambre de qui. Tiens? Les Flicks allaient devoir héberger dans leur propre chambre les petites Orchids? Soit. Il laissa échapper un soupire. Il n'avait pas de chance pour être dans la chambre de....

"....Alexandra Calendea partagea la chambre de Maximilian Davidson et de Harley Lewis."
"Heiiin?!"

Est-ce qu'il avait bien entendu ou est-ce qu'il rêvait? Non, il était bel et bien dans la même chambre qu'Alexandra! Ses joues passant au rouge, il ne pu s'empêcher de sourire bêtement, voire même un peu rigoler. Il avait à vrai-dire l'air d'un hamster. Quelle joie! Il était dans la même chambre que sa dulcinée. Quoique... il y avait quand même Harvey dans leur chambre! Quelle veine, dire qu'il était heureux voilà tout gâché. Tant pis, pas grave! Il pourrait la protéger si son compagnon de chambre se mettait à agresser la pauvre jeune fille, que ce soit verbalement ou physiquement! Il pourrait même aussi devenir de plus en plus proche d'elle puisqu'il sera forcé de lui parler, mais aussi lui dire bonne nuit, la voir endormie, et tout.... (accessoirement la voir en pyjama, mais il est quand même innocent le petit). Mais il se demandait quand même quelque chose? Est-ce que l'autre blond ne pourrait pas ainsi s'apercevoir qu'il aimait la jeune Orchid et ainsi être un danger autant pour lui que pour elle? En y pensant... est-ce qu'il avait pu voir ses poèmes et ses écrits sur Alexandra, puisqu'il avait souvent oublié de ranger son bureau? D'ailleurs, en y repensant, il avait pas rangé ses feuilles... et si sa dulcinée était en train d'emménager dans la chambre à l'heure qu'il est? Elle pouvait très bien les lire! Bon sang, qu'est-ce qu'il lui dirait? Il ne se sentait pas encore capable de lui dire qu'il l'aimait. Tasse toujours en main, il jouait le crabe en essayant de rejoindre la porte pour pouvoir aller dans les dortoirs discrètement. Du moins, il tentait d'être le plus discret possible.