La vengeance de Junior Simsons en ce vendredi 13...

Messages : 39 Date d'inscription : 06/07/2013

La douce voix de la jeune fille fit sursauter Maximilian qui se tourna vers elle avant de constater qu'elle allait plutôt bien. Oui, bon certes, elle avait la même tête que toutes personnes qui venait tout juste de se réveiller mais si jamais quelque chose de triste lui était arrivé on pouvait dire qu'elle s'en sortait plutôt bien. Quoique... autant demander comment elle allait toutefois. La voyant relever la tête, il dit :

"Mademoiselle Calendea. Reposez votre tête je vous prie... Vous serez ainsi mieux installée..."

En même temps qu'il parlait, il remettait correctement le coussin afin que ce soit mieux pour elle. Oui. Il devait être au petit soin avec elle. S'agenouillant ensuite près d'elle, il demanda :

"Allez-vous bien? Souhaitez-vous une couverture en plus afin d'avoir plus chaud? Un thé peut-être? Voulez-vous que j'appelle un médecin?"

Le fait qu'il ne balbutiait pas pour une fois mais également sa voix trahissait son inquiétude. Peut-être aurait-il du directement aller voir un docteur? Ou du moins l'infirmier du pensionnat? Qu'il était bête. Mais d'un côté il ne pouvait pas la laisser seule... puis il voulait aussi rester auprès d'elle. Peut-être que les autres Ochids étaient parties chercher de l'aide, allez savoir...

Messages : 82 Date d'inscription : 02/03/2013 Age : 29 Age du personnage : 24

Pas de clients depuis trois longues, heures je n'en pouvais plus ! C'était insoutenable, mon corps me réclamait un corps et le seul disponible dans tous les environs qui me plaisait assez et que je n'avais pas encore eu était de loin le shérif Bradley Simsons. Je me dirigeais donc vers la prison, où je surpris ma petite Violet enfermée en train de se taper la tête contre le mur en riant.

Shérif Simsons, que lui avez-vous dont fait pour que mon petit Violet soit dans cet état ? Auriez-vous des talents cachés à faire tourner la tête des plus innocents ?

Messages : 40 Date d'inscription : 29/08/2014 Age : 29 Age du personnage : 41

Bradley était plutôt surprit de voir débarquer Miss Swam, comment une aussi belle créature avait-elle pu finir ainsi à l'étage d'un saloon ? Cela restait un mystère pour lui. Elle lui fit des avances non déguisés, décidément, elle avait du cran et savait être subtile et aguicheuse.

Comment pouvez-vous croire que j'aurais touché un enfant, Miss Swam ? Je ne comprend pas ce qui lui a prit, il a montré son intimité devant le tribunal de Whiteriver Town, et depuis il tente de se faire passer pour fou, histoire de sortir plus vite.

Messages : 36 Date d'inscription : 14/03/2014

Oui, ça aurait pu être ça mais bon, le shérif n'avait pas compris dans le bon sens, alors autant arrêter la comédie et jouer cartes sur tables...Enfin une petite partie du Paquet. Le garçon se prit la tête entre les mains et regarda autour de lui, l'air de ne plus savoir où il était, maintenant: mimer la décuvée.
-Hm...Ma tête...Ha...Cet alcool... Hein? Je suis où? Oh prison? C'est pas vrai! J'ai fait quoi????

Il leva les yeux pour remarquer la présence de Betty ah, encore mieux, une alliée providentielle!
-Miss Swann...Ho...Je suis...Désolé...j'espère que vous ne vous ai pas causé d'ennuis...Qu es ce que j'ai fait il y a quelques heures...je...me souviens plus de rien... Ho...Shérif Bradley... Qu es ce que...j'ai fait...L'alcool m'embrouille complètement l'esprit...

Et il avait l'air si sincère et convaincant en prime. A moins d'être un maître dans le même Art que lui, Arcanes dont Betty connaissait bien les rouages, mais il savait qu'il pouvait compter sur son soutien, après tout, quand l'occasion se présentait, elle fut l'une des rare à vraiment le protéger ou du moins: agir.

Messages : 82 Date d'inscription : 19/05/2013 Age : 25

Il était si gentil, si chaleureux, avec ses grands yeux qui la fixaient, avec ses grands yeux qui la scrutaient. Bien qu'elle ne se l'aurait sûrement jamais avoué, elle aimait se sentir aimé, et le jeune homme lui procurait cette douce sensation qu'était d'avoir la connaissance d'un délicat sentiment à son égard. Elle adorait être à ses côtés, bien qu'une nouvelle fois, elle ne l'aurait jamais avoué à quiconque, pas même à sa propre personne. Avait-elle seulement conscience qu'elle appréciait la présence de Maximilian ? Sûrement devait-elle le sentir au plus profond d'elle-même. Mais était-ce suffisant pour dire qu'elle en avait connaissance ? Peut-être pas.

En tout cas, devant sa compassion, devant toute la considération dont il faisait preuve envers Alexandra, cette dernière ne pouvait que s'en sentir flattée. Encore plus lorsqu'il remit en place le coussin, qu'il s'agenouilla près d'elle, et qu'elle remarqua qu'étrangement, son balbutiement s'était envolé. D'un mouvement encore tout engourdi, tout lourd de son réveil dernier, elle prit du bout des doigts la veste qu'avait déposée Maximilian sur ses épaules pour la remplacer, alors qu'elle commençait lentement à glisser dans son dos. Une fois mise à sa place, elle plongea son regard dans celui du jeune homme, et d'un sourire qu'elle essaya d'esquisser, elle tenta de lui faire comprendre qu'elle appréciait à leur juste valeur toutes ces attentions.

« Merci beaucoup. Mais ça va aller. C'est déjà bien généreux de ta part d'être là. »

Elle pencha sa tête légèrement sur le côté, la mine pensive, ne sachant exactement depuis combien de toi il était là. Ou même depuis combien de temps elle était là.

« Ça fait longtemps ? »

Messages : 22 Date d'inscription : 01/10/2014

Celle aurait du être une nuit sans âme, plongée dans l'obscurité la plus profonde, un répit pour son esprit troublé la faisant tomber dans l’oubli, et pourtant la jeune fille aux cheveux d’un rose-vif ne trouvait pas son repos. Assise sur le rebord de la fenêtre ouverte de sa chambre, aucun sourire ne perlait pour une fois de ses douces lèvres, alors que ses yeux d’un bleu azur, d’habitude si vifs et pleins de joie, sondaient le ciel brillant de mille couleurs d’un regard absent. C’était beau, un spectacle de la nature qui resterait marqué au feu rouge dans sa mémoire, un nouveau bon souvenir de gravé dans l’immense bibliothèque de son esprit… ou peut-être pas si bon que ça en faite. Dans ses mains séjournait une lettre ouverte, contenant l’écriture d’un vieux Shérif qu’elle ne comptait pourtant plus parmi les vivants, un message éphémère qui se consommait peu à peu entre ses doigts.

Dorothy fuyait, et elle le savait. Brûler la lettre ne servait à rien maintenant qu’elle avait lu son contenu, c’était trop tard, un point sensible inespéré avait été touché. L’énigme la fille n’en avait que faire, mais l’apparition du fantôme de l’ancien Shérif, c’était une autre histoire à ses yeux. Qu’avait fait-elle pour mériter une farce aussi cruelle ? La mort était une chose dont la fille ne voulait pas entendre parler. Les morts…. devaient rester morts, le passé demeurer dans passé. Cette situation grotesque lui soulevait bien de confusion dans sa tête, lui retournait un couteau dans sa plus sensible plaie…

Que la vie était cruelle avec Miss Hall, ne pourrait-elle jamais se débarrasser de son plus gros fardeau ?

Messages : 39 Date d'inscription : 06/07/2013

Affichant un léger sourire, Maximilian était rassuré. Alexandra n'avait pas besoin qu'on appelle du secours, ce qui voulait en soit dire qu'elle allait bien. Peut-être avait-elle dit ça juste pour le rassurer mais à la voir il pouvait deviner que sa vie n'était pas en danger. Mais ce sourire disparu lorsque sa douce le regarda droit dans les yeux et le remercia, le faisant rougir de nouveau. Il pencha même sa tête pour fixer un point sur le sol afin de cacher comme à son habitude ce visage dont il avait tant honte. Il fit même un este de la main afin de placer quelques mètres de cheveux devant les yeux.

"De... de rien... Quant à votre question... Je ne puis vous donner une réponse... Je... A vrai-dire, je ne sais pas comment je suis arrivé ici et.... je vous ai trouvé là... Ça doit faire à présent quinze minutes.... si je ne me trompe pas..."

Oui, au moins un quart d'heure. Le temps qu'il comprenne où il avait atterri, qu'il s'occupe d'Alexandra et qu'elle se réveille.... D'ailleurs, aurait-elle senti le baiser sur son front? Si c'était ça qui l'avait réveillé, autant dire qu'il se sentirait mal. Surtout qu'il ne s'était pas encore déclaré. Peut-être serait-il temps de le faire... Mais en tout cas l'heure était plutôt à savoir ce qui s'était passé.

"Puis-je me permettre d'être curieux et vous.... vous demander ce qui vous est... arrivé?"

Messages : 67 Date d'inscription : 02/03/2013 Age du personnage : 26

Dorothy Hall, je ne la connaissais pas vraiment mais je savais une chose, c'était une Orchids et je déteste particulièrement les Orchids. Elle n'a pas trouvé la solution à mon énigme, elle aura donc droit à une humiliation que je ne suis pas prête de lui laisser oublier ! Je prenais alors le contrôle de son esprit pour l'emmener vers les douches. Sur place je la déshabillais pour entrer dans le bain, elle n'avait plus qu'une petite nuisette qui lui servait de linge de bain. Pour le reste de ses vêtements j'avais prit soin de les faire disparaitre dans les sous-sols du pensionnat, là où peut-être un jour quelqu'un les retrouvera. Je lâchais mon emprise mentale et la laissais à son triste sort en cette journée hivernale.

Messages : 82 Date d'inscription : 02/03/2013 Age : 29 Age du personnage : 24

Je n'attendis pas la réponse du shérif Simsons, Violet venait de répondre à ma question. Enfin en partie... Je m'approchais avec élégance des barreaux de la prison, et c'est d'une main sensuelle et délicate que je touchais le visage du prisonnier. Ma voix était plaintive.

Oh mon pauvre Violet, tu as encore abusé de l'alcool...

En prononçant ses mots un sourire fendait mon visage, Violet était doué et son idée pouvait marcher. Elle pourrait sans doute sortir plus rapidement que prévu. Les deux amis étaient bien les mêmes, comme quoi passer du temps au bordel vous apprend beaucoup choses et notamment la tromperie.

Messages : 40 Date d'inscription : 29/08/2014 Age : 29 Age du personnage : 41

Décidément, Harlow ne faisait pas dans la demi-mesure il avait tellement d'imagination ce gamin, il pourrait aller loin, c'est certain. Mais je ne suis pas né de la dernière pluie et après plusieurs années dans l'armée, crois-moi mon petit je sais ce qu'est être bourré. Et tu n'en n'es pas encore là. Tu ne sentais même pas l'alcool quand je t'ai amené ici. J'ai une quarantaine d'années d'expérience derrière moi.

Mister Harlow, vous ne sentez pas l'alcool, ne chercher pas à duper aussi facilement un représentant de l'ordre. Vous êtes consigné ici jusqu'à ce que j'estime que l'envie de recommencer ce genre d'offense publique vous passe.

Cette foutue porte ne s'ouvrait pas, c'était particulièrement gênant mais il fallait que je partage cette information, c'est certainement la seule que je partagerais avec lui d'ailleurs. Cet homme était pour moi l'incarnation même de tout ce que je combattais. Il y avait un balais contre le mur, je vous avoue que même si je suis une Orchids, une Lady qui ne laisse pas ses émotions prendre le dessus, actuellement j'avais envie de saisir le manche du balais et de frapper Daniel avec.

Mon poing frappa sèchement contre la porte montrant ma colère et ma contrariété.

Nous sommes enfermés...

Je n'entends personne me répondre de l'autre côté de cette porte, où sont-ils passés ? Deux zombis ne se perdent pas comme ça. Je m'agenouille pour contempler les escaliers. Pourquoi n'y ai-je pas penser avant, j'aurais regardé que leurs bottes avaient laissé des traces, je me serais moins embêter à les tracées. Remonter la piste, j'arrive jusqu'à une porte qui laisse voir trois sortes d'empreinte, les leurs et les miennes, c'est bon nous y somme a destination.
J'entends un coup sur la porte suivie d'une phrase : « Nous sommes enfermés... ». Nous y voilà, vous allez voir ce que je vais lui faire à ce revenant s'il me cherche des noise, c'est pas lui qui m'aura comme les autres, je connais le truc. Je frappe à la porte trois fois, comme à mon habitude pour me faire entendre et pour faire savoir qu'il ne faut pas rester derrière. Je tente d'ouvrir la porte m'acharnent dessus. Et le Corbeau Sur mon épaule retenti un jolie croassement.

Messages : 82 Date d'inscription : 19/05/2013 Age : 25

Il replaça ses cheveux devant ses yeux, avant d'avoir baissé sa tête et d'éviter ainsi le regard de la jeune femme. Cette dernière fut quelque peu désarçonnée de voir qu'il retrouvait son « ancienne » attitude, celle de l'enfant timide qui n'osait s'affirmer. Elle pouvait comprendre cela ; cependant, pourquoi n'était-il pas ainsi depuis le début ? D'une petite grimace qui signifiait amplement qu'elle n'avait pas envie d'y réfléchir, qu'elle n'avait pas envie de réfléchir tout court, elle passa une main dans ses cheveux, replaçant discrètement une mèche de cheveux derrière son oreille pour lui dégager le visage. Après avoir fait ce geste, elle se rendit compte que c'était l'exact opposé de ce qu'avait fait Maximilian ; gênée, elle espérait juste qu'il n'allait y trouver là aucun sous-entendu, puisqu'il n'y en avait pas.

« Quinze minutes ? »

murmura-t-elle, plus pour elle-même.

Quinze minutes... seulement ? Elle avait l'impression d'avoir dormi pendant une éternité. D'être tombée dans un profond sommeil, et de ne jamais s'en être réveillée ; et ce sommeil aurait été si long, si dur, qu'elle ne souvenait pas même du pourquoi et du comment elle s'était endormie. Tout cela lui donnait un mal de crâne horrible, tout du moins, elle pouvait sentir le marteau qui frappait à l'arrière de sa tête donner des coups de plus en plus forts, impitoyables. Et rien n'allait en s'arrangeant, alors qu'il lui demandait ce qui s'était passé. Bien qu'il avait baissé les yeux, ceux d'Alexandra cherchèrent son regard, pour lui livrer une expression vide de souvenirs. Elle ne savait rien. Elle ne comprenait rien. Cette inaptitude à saisir ce qui se passait l'agacer follement, tant qu'elle aurait voulu crier. Seulement, ce n'était pas convenable.

« Je.. Mh. Je n'ai pas vraiment envie d'en parler, d'accord ? »

Un ton doux pour cacher ton ignorance.« Où sommes-nous ? »

Messages : 22 Date d'inscription : 01/10/2014

Ok, maintenant la pauvre Orchid commençait vraiment à flipper. Normal car elle avait repris conscience au milieu des douches, et qu’elle ne savait pas comment elle avait arrivé là. Hors, une telle chose était impossible pour Miss Hall, sa mémoire était simplement infaillible, rien ne lui échappait, sauf ses fringues de toute évidence parce qu’elles étaient en vue nulle part ! D’ailleurs, la misérable noisette cachant sa nudité n’était pas à sa taille et bien trop de chair était à l’air pour le confort d’une lady.

Sauf que voila, Dorothy avait beau en avoir le corps, sa mentalité était loin celle d’une femme normale. Sans gêne, elle s’assit parterre en boule, essayant de réchauffer ses membres glacés… quelqu’un la retrouverait bien avant le lever du jour n’est-ce pas ? Mais en attendant, elle pouvait bien s’amuser un peu en jouant avec ses cheveux.

Messages : 56 Date d'inscription : 02/03/2013 Age : 29 Age du personnage : 65

Ce matin là, mon corps était lourd et douloureux, histoire de me rappeler que je n'avais plus trente ans. Je trouvais sur mon bureau dans l'arrière boutique de la bibliothèque une enveloppe. Je l'ouvrais avec curiosité. Je laissais tomber le morceau de papier. Ce n'était pas la première fois que nous avions à faire à un fantôme, Wind Spirit n'en était-il pas un d'une certaine façon ? Cette énigme n'était pas bien difficile pour la vieille femme, tout du moins c'est ce qu'elle pensait. Le juge Simsons en avait fait voir de toutes les couleurs à son fils. Quand je me dirigeais vers le Livre d'Or pour y retranscrire cet évènement, mais il n'était plus là, il avait disparu. A croire que Junior avait déjà commencé à se venger.

Je commençais à réfléchir aux endroits préférés des plus perfides, Miller, c'était les douches, je commençais donc par là. Une fois dans les douches je cherchais dans les vestiaires, il n'y avait pas de vêtement, je me disais donc pouvoir chercher tranquillement.

Messages : 67 Date d'inscription : 02/03/2013 Age du personnage : 26

Tiens quelqu'un vient embêter Mary-Jane et Daniel, elle voudrait se faire passer pour une sauveuse ? Toi, ma petite, je vais te faire vivre un enfer, je vais t'aider à intégrer ce pensionnat, te faire rester ici longtemps parmi ces fous ! Je prenais le contrôle de son esprit et menait ses pas jusqu'au bureau du directeur. Une fois devant la porte je lâchais mon emprise mentale, mais je reviendrais m'occuper de toi.

Messages : 11 Date d'inscription : 24/12/2014

L'esprit de Daniel avait été embrumé pendant quelques instants en cette journée, il savait qu'il marchait mais il n'avait aucun contrôle sur ses jambes qui le menèrent au grenier et où il reprit conscience de ses gestes... Il réalisa alors qu'il était avec une jeune femme essayant d'ouvrir la porte les retenant. Il reconnu rapidement Mary-Jane et il ricanna.

- Je ne sais pas de quoi il s'agit mais la situation est marrante...

Il entendit frapper à la porte, peut-être un sauveur ? Il frappa à la porte mais n'eut aucune réponse. Peut-être un animal, qui sait ? Fouillant dans ses poches, le chef actuel des flicks knifes sortit deux crochets et commença à crocheter la serrure.

- Bon en attendant que j'y arrive, quelque chose à déclarer ? Mademoiselle Kins, pourquoi nous retrouvons nous la ? Ce n'est pas l'anniversaire de votre défunt cocu ? Ne devriez vous pas être sur sa tombe ?

Je laissais Daniel s'approcher de la porte, je m'éloignais un peu, j'aurais pu écraser sa tête contre la planche de bois qui nous retenait ensemble et à vrai dire qu'en avais vraiment envie.

Bon en attendant que j'y arrive, quelque chose à déclarer ? Mademoiselle Kins, pourquoi nous retrouvons nous la ? Ce n'est pas l'anniversaire de votre défunt cocu ? Ne devriez vous pas être sur sa tombe ?

Je n'en pouvais plus. Cela m'arrivais rarement mais cette fois je craquais, cette porte ne s'ouvrirait jamais si c'était bien Junior qui l'avait fermé. Et je ne supportais plus son insolence, sa suffisance. Je saisie en silence le manche du balais et d'un coup ferme je cognais sa tête contre la porte auprès de laquelle il était accroupi.

Pour la deuxième fois de ma vie, un esprit a pris le contrôle de mon esprit... j'ai compris comment le contrés maintenant. Si il tient tant a manipuler les gens, qu'il me manipule encore tien ! Bon premièrement, je dois me repérais en territoire inconnue, un porte devant moi, un écriteau « directeur ? » Bas tien, au moins, je sais ou est le bureau de ce dernier, plus qu'a allez retrouver mon chemin, vite allez dehors !
Vite retourner a la gare, et recommençons, marchons dans l'allée principal, retournons suivre ces fameuse trois paires de traces, et retournons ouvrir cette porte.
Ni une, ni deux, ni trois, je dégaine et tire 3 fois dans la serrure de la porte, et maintenant fantôme ? C'est quoi ton plan ?
Essayant d'ouvrir la porte, je me rend contre, que cette histoire prend une dimension, supérieur, la canche, la serrure est exploser, mais la porte reste sceller. Bien que je sois croyante, je ne crois pas a l'exorcisme, pour ma dernière aventure du genre, c’était en répondant au critère émotionnelle du revenant qu'il partira, avec une âme en paix pour le paradis. Mais la... c'est pas gagner.

Messages : 36 Date d'inscription : 14/03/2014

Raté, c'était à prévoir et il l'avait envisagé. Sans sembler affecté plus que cela, le garçon s'assit dans la cellule et sortit son taro de sa poche dont il étala les cartes avec soin. Junior devait rager, ça ne lui faisait ni chaud ni froid, comme s'il n'avait pas déjà passé du temps entre ces murs, elle était dure la Sorcière de l'Ouest comme certains hommes l'appelaient ici, ceux qui le prenaient vraiment pour une fille. Quand le shérif n'entendit pas il murmura à l'adresse de l'entité qu'il ne devenait pas loin.

- Tu vas me le payer toi...J'irai profaner ta Tombe...Sale gosse de riche qui n'a jamais rien vécu...Lady Kins n'est parfaite mais elle mérite mieux qu'un type dans ton genre! Tu peux continuer tes petits jeux mais rien de ce que tu me feras ne m' abattra. Renseigne toi...Tu sais pas à qui tu t'attaques... J'en connais un Rayon aussi.

Menacer un mort en colère, pas malin et alors? Il ne fallait pas trop le chercher, ne l'avait il donc pas compris malgré ce qu'il avait fait de son corps cette nuit là?

Messages : 11 Date d'inscription : 24/12/2014

Daniel avait été agressé par derrière lorsqu'on l'avait avant d'entrer dans un coma profond et il avait travaillé depuis son réveil son sens de l'écoute et ses réflexes. Il entendit l'air se fendre au dessus de la tête et il se lança sur le côté, esquivant le coup. Se relevant, il saisit le poignet de la jeune femme et le serra avec violence avec de plaquer l'Orchid contre le mur.

- Vous êtes bien audacieuse mademoiselle Kins, mais vos actions ne font que prouver mes dires. Je pourrais vous agressez, vous faire des choses dont vous n’imagineriez même pas l'existence. Mais par respect pour mon frère et pour le comprendre, je ne vais faire qu'une chose.

Le jeune homme ricana et embrassa la jeune femme violemment sur les lèvres et se recula vivement et riant.

- Je ne le comprend définitivement pas, tellement banale.

Le jeune homme retourna à la porte en guettant le balai du coin de l'oeil.

Messages : 39 Date d'inscription : 06/07/2013

Elle n'avait pas envie de parler de ce qui s'était passé, et ça il pouvait le comprendre. Peut-être avait-elle eu à faire avec quelqu'un ? Ou qu'elle avait honte de son accident? En tout cas, autant ne pas lui poser davantage de questions. Peut-être était-elle même un peu énervée qu'un gamin comme lui s'intéresse autant à sa vie. Baissant donc la tête, Maximilian écouta attentivement la question de sa dulcinée. N'avait-elle pas reconnu le dortoir des Orchids? Relevant juste légèrement la tête il répondit :

"Vous êtes dans le dortoir des Orchids... au salon. Vous n'avez rien à craindre..."

Si jamais elle s'était fait attaquée. Ha cela le stressait de ne pas savoir ce qui s'était passé! Surtout qu'il avait envie d'aller toucher deux mots à celui qui lui avait fait du mal si c'était ça! Voyant l'air quand même un peu endormi de la demoiselle, il se demanda si elle n'avait pas encore envie de se reposer.

"Ah euh... Souhaitez-v...vous que je m'en aille?"

Il espérait qu'elle ne dise "non" afin qu'il puisse rester avec elle. Mais si la jeune fille voulait se reposer, il était bien sûr prêt à quitter sur le champs les lieux...

Il avait eu le temps de l'esquiver, ce coup de balai. J'avais terriblement honte, mais je n'eu pas le temps d'y penser plus longtemps qu'il saisit mon poignet, je serrais les dents retenant un cri de douleur. Il ne me laissa pas le temps de répondre, et c'est après un réplique plus que menaçante, décidément il s'amusait vraiment, cet homme était si antipathique ! Quand il posa ses lèvres sur les miennes j'étais presque dégouté, non il n'avait rien à voir avec son frère. Quand il retourna vers la porte, j'entendis quelqu'un frappé, et le cliquetis d'un pistolet. Je lâchais le balais, et attrapais Daniel par les cheveux pour le tirer dans l'angle, trois coups de feu retentir alors détruisant la serrure.

Tu ne vaut définitivement pas ton frère. Mais maintenant tu me dois la vie.

J'avais un sourire carnassier. Il s'était peut-être moqué de moi, mais maintenant je tenais quelque chose. Sauver par une Orchids, triste histoire pour le chef des Flick Knifes.

Messages : 11 Date d'inscription : 24/12/2014

Le jeune homme entendit des cliquetis et fut surpris d'être tiré en arrière rapidement avant l'explosion de la porte. Jeté à terre, le jeune homme sourit à sa "sauveuse" et il se releva :

- Je ne vous dois rien miss Kins, hormis une maladroite action de votre part,vous avez sauvé un ennemi en plus d'avoir couchée avec son frère... Je ne sais pas si je saurais garder tant de secret par rapport à vos faiblesses mademoiselle...

Sur ce,le jeune homme se leva et quitta la pièce en faisant un clin d'oeil à la belle, petite idiote elle avait sauvé son plus redoutable adversaire...

Messages : 67 Date d'inscription : 02/03/2013 Age du personnage : 26

Harlow, ce petit chien, comment osait-il me provoquer, cette cellule c'est là où tu devrais moisir après mon effroyable meurtre ! Je fit voler toutes les cartes de son paquet les éparpillant partout pour lui montrer ma présence et mon mécontentement. Mais cette fois, je pris une fois de plus le contrôle de son esprit, si la prison ne lui suffisait pas que dirait-il d'un procès ?! Il se mit devant les barreau puis souleva sa jupe devant le shérif Bradley avant de lui tirer la langue. Même si son regard était absent, ce n'est pas le général Bradley qui allait commencer à croire aux fantômes.

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